Une direction de société décide de réduire la durée d’amortissement d’une catégorie d’actifs et comptabilise ainsi une dépréciation égale aux cumuls des amortissements non comptabilisés de manière rétrospective.
La commission des études comptables estime que s’il y a une modification importante de l’utilisation des actifs (modification du rythme de consommation, par exemple), la situation s’analyse comme révision prospective. S’il s’agit d’une correction de durée initiale, la situation est à traiter comme une correction d’erreur comptable.